samedi 16 mars 2013

Pour les inconditionnels du sans logement : le caisson de décompression sociale.

Une caisse en bois, propre munie de provisions, de couvertures de survie pour les grands froids et même d'une lumière pour lire. La clé et à récupérer en mairie ou dans le local d'une association. Les itinérants ou les semi sédentaire, ceux qui ne supportent pas d'avoir un toit sur la tête ou sont dehors occasionnellement ont enfin un endroit où dormir. Il suffit de rendre la clé quand on s'en va, non sans récupérer ses papiers que l'on aura laissé en guise de consigne.
Plus de morts, dans le froid, la nuit, l'hiver...
L'idée n'est pas de moi, mais d'un artiste qui a exposé au Musée d'art contemporain de Barcelone, en 2009.
Barcelone est une autre ville révolutionnante...si je peux me permettre le terme très peu utilisé dans la littérature du genre...
Sa fac de philo, située juste à côté du MAC est rouge...c'est vous dire...




Cher pays catalan...la crème des crème...
Les caissons sont design, classiques, contemporains, ils apportent un plus à la ville, on peut y aller pour s'amuser, s'isoler, par luxe tout autant que par nécessité.Ils permettent de décompresser du social...
Ma proposition est sérieuse. Le coût social est bien moindre que celui des décès nocturnes, parmi nos amis qui dorment dehors...certains soirs où il fait en dessous de zéro...

Amis SANS-ABRIS, Unissez vous !

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